Extrait du journal «Hayastani Hanrapetutiun». L’académicien Martik Gasparyan «Les conséquences de crimes ne peuvent générer des droits»

La deuxième guerre de l’Artsakh, et jusqu’à aujourd’hui, témoigne de l’action génocidaire de l’Azerbaïdjan et de la Turquie vis-à-vis des arméniens. Cette politique génocidaire de nettoyage ethnique est menée depuis plus d’un siècle. De nombreux faits de crimes de guerre commis en République Artsakh  à l’encontre de soldats et population pacifique ont été relevés.

L’Azerbaïdjan détruit ou s’arroge l’héritage culturel historique de l’Artsakh , ce qui signifie effectuer un culturocide.

Le Centre international scientifique et juridique indépendant pour l’expertise et l’évaluation des questions de compensations et reconstructions prépare un rapport extra-juridique d’experts visant la République Azerbaïdjan qui sera adressé à Tribunal européen pour les Droits de l’Homme

 Ce rapport comprendra une évaluation qualimétrique (quantifiable)  des dommages matériels et non matériels causés par l’Azerbaïdjan envers la population arménienne de la République Artsakh et  la République Artsakh aussi bien par temps de guerre, en période avant-guerre et période après-guerre.

Le journal « Hayastan  Anrapetoutyoun» a interwievé l’auteur initiateur, nominé pour le Prix Nobel, docteur ès sciences économiques, professeur et académicien, Martik Gasparyan. Selon lui, il est également et adéquatement important de prendre en considération, en arménologie,  le poids des dommages subis par la culture arménienne. Dans ce but, il a mis au point une méthode permettant d’évaluer l’héritage historico-culturel, ses compensations afférentes face à ce génocide culturel ».

L’article complet est consultable dans le numéro du jour « Hayastan Anrapetoutyoun»

14 avril 2021

 “Айастани Анрапетутюн” («Հայաստանի Հանրապետություն» օրաթերթ).

ARMENPRESS

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Traduit en français par Béatrice Nazarian